Pour la petite histoire, l’idée de frire des poissons aurait été introduite en Angleterre aux XVIIe et XVIIIe siècles par les Juifs séfarades du Portugal. Si l’anecdote n’est pas parfaitement avérée, c’est en tout cas le “storytelling” qui accompagne le fameux fish and chips, si cher aux britanniques.
Quel que soit le poisson choisi, le principe même de la friture annonce un plat régressif avec deux marqueurs centraux : le gras et le sel. Croustillant à l’extérieur et moelleux à l’intérieur, c’est toujours un régal qu’on déguste avec les doigts !
Si le plat est apprécié de tous, il est possible de varier les plaisirs en explorant les différents types de poissons qui se prêtent à la recette.
Poissons blancs ou bleus, la friture en couleur
Les poissons blancs, tels que le merlan, le cabillaud (aussi appelé morue) ou le bar sont parfaits pour la friture. L’épaisseur de la chair renforce en effet le contraste entre texture croustillante de la peau et la tendreté à cœur.
Autre option, pour se régaler avec une bonne friture, les poissons dits “bleus”. Dans cette catégorie, maquereaux ou sardines sont une option originale. Leur chair grasse garantit en effet une mache presque onctueuse. Le gourmand notera toutefois un avantage notable des bleus par rapport aux blancs : le prix. À titre d’exemple, le cabillaud peut atteindre 40 € du kilo, là où le maquereau excède rarement 13 €/kg. C’est donc un moyen de se faire plaisir à moindre coût.
Les poissons de roche ou d’eau douce ?
Autre option pour réaliser une friture riche en goût, les poissons de roche. Il ne faut pas seulement comprendre “poissons vivant dans les rochers”. Si l’expression…Lire la suite sur Le chasseur français
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