« C’est comme s’il n’y en avait pas eu » : voilà ce que pensent les syndicalistes de la SNCF de l’accord signé sur la cessation progressive d’activité qui permet de contourner les effets de la récente réforme des retraites et de reporter l’âge de 2 ans. Une concession pour la paix sociale pendant les ponts de mai et les Jeux Olympiques payée sur le dos des contribuables.
La France serait bien inspirée de demander des contreparties aux syndicalistes comme l’interdiction des préavis de grève illimités, voire un service minimum obligatoire durant certaines périodes de l’année.
Par un accord signé entre les organisations syndicales et la direction de la SNCF, les conducteurs et contrôleurs bénéficieront d’un régime de cessation prog
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